One Shot MiSa Traduc by Me

[portugalita]

Bon les filles, j'ai presque fini mon ancienne traduc, For Always, Forever.... Mais je vous laisses ici quelques one-shot que je suis en train de traduire....
Déchainez-vous surtour, car j'adore ça....

All Aboard The Love Train par Addicted2Misa

Après avoir reçu l’autorisation d’entrer, Michael entra dans les toilettes où il trouva Sara assise sur le lavabo, l’observant.

_ Hey, murmura Michael.

Sara le gratifia d’un faible sourire. Voulant lui laisser un peu d’espace, Michael enfoui ses mains au plus profond es poches et s’adossa au mur voulant ainsi qu’elle fasse le premier pas vers lui.

Avant de parler, le regard de Sara dériva sur le sol.

_ J’étais ici en train d’évaluer les choses, il y eu une longue pause avant qu’elle ne poursuive.
_ J’ai brisé les termes de ma liberté conditionnelle, je suis en cavale, et je viens d’essayer de prendre la vie d’un homme.

Une ombre de tristesse envahie les yeux de Michael en se rendant compte de tout ce que cette femme avait endurer. Ce qu’il lui avait fait endurer.

_ Je ne me drogue plus, en rencontrant les yeux de Michael, recherchant sur son visage une quelconque forme de réponse, peut-être un signe d’approbation, mais elle n’était pas sûre. Elle avait besoin qu’il sache qu’elle était clean et que l’overdose u’elle avait fait le soir de l’évasion était une fois sans lendemain, une terrible erreur de jugement temporaire, et qu’elle n’était plus cette personne.

Ne sachant quoi dire, Michael reposa lui aussi son regard sur le sol, forçant Sara à poursuivre.

_ Ce qui est plutôt un exploit mais trois semaines auparavant j’étais médecin.

Michael posa ses yeux sur Sara à nouveau.

_ Et tu peux l’être à nouveau, tu peux tout récupérer. Il faut que tu gardes la foi.
_ Tu le crois vraiment ? Tu crois qu’on peut vraiment tout récupérer ?

Avec ses mains toujours dans ses poches, Michael quitta sa place contre le mur et doucement s’approcha pour s’asseoir à côté d’elle.

_ J’ai choisi de garder la foi, c’est la seule chose qui me reste.

Sara leva les yeux vers le regard pénétrant de Michael.

_ C’est la seule chose qui me fait avancer.

Sara sourit soupira légèrement.

_ Bein, j’ai deux choses qui me font avancer. Tout d’abord, je veux les gens qui m’ont pris mon père. Michael l’observa patiemment attendant la deuxième raison.
_ Et à vrai dire la deuxième, ironiquement, je ne serais pas en train de te le dire si je ne l’avais pas perdu, mais euh, tu devrais savoir que…

Michael se trouva encore une fois en train d’attendre que Sara trouve ses mots. Elle émit un rire nerveux et se clarifia la gorge.

_ La première chose qu’on te dit lorsque tu acceptes le boulot, c’est de ne jamais tomber amoureuse d’un détenu.

Ça sonnait plus comme une question de que comme une affirmation.

L’attention de Sara se fixa sur la porte des toilettes, attendant nerveusement la réponse de Michael. Après un moment et se sentant soudainement courageuse, elle leva sa tête et trouva les yeux de Michael plonger dans les siens. Sans aucunes paroles, Sara l’observait alors que ses yeux allaient jusqu’à ses lèvres avant de lever sa main afin de lui caresser la joue et ensuite s’approcha, ses lèvres rencontrant les siennes dans une rencontre passionnée.

Elle répondit à son baiser, l’embrassant en retour, savourant la sensation de ses lèvres contre les siennes. Elle sentit sa main plonger dans ses cheveux, caressant gentiment avec ses doigts, ses petites boucles. Alors qu’ils s’embrassaient, elle posa sa main sur sa joue, adorant la sensation de sa fine barbe contre la peau sensible de ses doigts.

Michael s’écarta, la regardant profondément dans les yeux, cherchant son accord pour emmener les choses à la prochaine étape. Sara répondit à son regard et sourit. Prenant les devants, ses lèvres s’écrasèrent sur celles de Michael.

Au début, leur baiser était une chaste, innocente, et incoordonnée rencontre de lèvres tout comme avait été leur premier baiser.
En considérant que leur baiser à l’infirmerie avait été provoqué sous de fausses intentions, Michael voulait que cette fois soit délibérée et sincère et à part leurs rencontres à Gila, où les circonstances n’avaient pas été meilleures, c’était la première fois qu’ils étaient seuls, sans le risque d’être interrompu par des gardiens.

Après quelques secondes, Sara pu sentir Michael changer de place. Sa bouche n’avait jamais quittée la sienne alors qu’il bougeait de sa place à côté d’elle pour se retrouver devant elle. Michael s’écarta à nouveau pendant que Sara écartait ses jambes pour qu’il se rapproche davantage d’elle. À nouveau, elle regarda ses lèvres avant qu’elles ne se retrouvent sur les siennes et sa bouche s’ouvrit en temps que réponse, invitant la langue de Michael à s’y aventurer.

Michael ne nécessita pas d’une autre invitation, sa langue explorant celle de Sara en de longue caresse. Elle savoura la sensation de sa chaude langue sur la sienne, s’aventurant dans une danse sensuelle. Ses mains vinrent se poser sur sa nuque, le serrant contre elle. Elle sentit ses bras et ses mains sur son dos alors qu’il répondait à sa requête d’une certaine intimité.

Le son du train résonnait sur le second plan alors que Michael fit un pas en avant r une intimité sexuelle.

Se serrant contre elle, Sara pouvait sentir son enthousiasme contre son ventre. Ses mains quittèrent son dos, soulevant un peu son haut, pour lui caresser la peau douce qui était en dessous.

La bouche de Sara quitta la sienne afin d’enlever le gilet gris qu’elle portait. Voyant ça comme un nouveau signe d’approbation, Michael s’occupa de lui retirer le sweater beige par-dessus sa tête, laissant sa peau blanche exposée devant lui. Ensuite, il défit son soutien-gorge, le faisant glisser le long de ses bras. Il se rapprocha et toucha son sein gauche, ses mains firent vite remplacer par ses lèvres alors qu’il lui caressait les seins avec sa langue.

Sara gémit entant de plus en plus excitée.

Voulant rentrer en contact avec sa peau, Sara incita Michael à enlever son sweater, ce qu’il fit sans plus attendre. Sara l’aida ensuite à retirer son t-shirt, regardant celui-ci tomber à terre à côté de ses propres affaires. Michael enveloppa ses bras autour d’elle, alors que ses lèvres l’attaquaient dans un geste passionné.

Cette fois-ci, leurs baisers devinrent plus désespérés, lèvres contre lèvres et peau contre peau. Rien n’avait préparé Sara pour ce surplus d’émotions ou pour le taux de désir qu’elle ressentait maintenant, même les gestes subtils et les regards clandestins qu’ils avaient échangés au cour de ses visites à l’infirmerie.

Sara était surprise de constater à quel point la peau de Michael était douce, en tenant compte des dessins permanents qui lui recouvraient le torse et elle pouvait entendre que la respiration de Michael devenait courte et laborieuse essayant d’enfouir son excitation au plus profond de lui-même.

_ Je te veux en moi Scofield, maintenant, d’une voix rauque.

Michael stoppa tous gestes et la regarda droit dans les yeux, des yeux qui étaient remplis de désir et de besoin de lui comme il n’avait jamais vu auparavant. Il avait été avec d’autres femmes, pas des masses, mais celles avec qui il avait été intime ne l’avait jamais regardé de la façon dont Sara le faisait en ce moment. Il aurait préféré que leur première fois soit romantique et parfait avec un grand lit confortable, des bougies et de la musique, mais il se rendit compte, que c’était le bon moment et que ça allait être aussi parfait et romantique que possible, il ferait en sorte que ce soit ainsi pour elle.

Il prit un profonde inspiration alors qu’il défaisait la fermeture éclair de son pantalon marron, les laissant descendre sur ses cheville. Sara le regarda avec anticipation alors qu’il lui déboutonnait son jean et commençait le faire glisser le long de ses jambes, laissant apparaître ses sous-vêtements en dentelle rouge. Il s’aperçu qu’ils étaient déjà bien humide à cause de son désir.

Ils ne pouvaient s'empêcher de sourire à l’autre lorsque Sara enfouit ses doigts sous son boxer, libérant ainsi son membre gonflé, pendant que Michael lui retournait la faveur, lui enlevant aussi la dernière barrière entre eux et le plaisir ultime.

Levant les yeux vers le regard azur de Michael, Sara enveloppa sa main autour de son membre ce qui lui fit émettre un lourd soupir. Ses yeux étaient clos et sa tête tomba en arrière alors qu’il savourait la sensation de sa peau douce contre cette partie de son anatomie.

Sara ferma ses propres yeux pendant un moment avant de finalement le guider u plus profond d’elle-même, Michael ouvrit les yeux en entrant en contact avec sa douce intimité. Il retira la main de Sara et la pénétra, sentant ses muscles serrés autour de lui alors qu’il s’enfouissait de plus en plus profondément en elle.

Il s’arrêta pendant un moment pour que Sara puisse ‘ajuster à sa taille. Une fois qu’elle ai enveloppé ses jambes autour de ses reins et emmena ses lèvres jusqu’à celle de Michael, il commença enfin à bouger en elle, lentement dans un premier temps avant d’accélérer la cadence alors qu’ils trouvaient leur rythme idéal. La souleva du lavabo et la poussa contre le mur, où il serait plus facile d’avoir une bonne élévation.

Aucune parole ne fut prononcé, rien ne sortait de leurs bouches à part de courte et laborieuses respirations, ainsi que des gémissements de pure satisfaction alors qu’ils se touchaient, savourant l’assouvissement de la passion et des émotions qui les consumaient depuis si longtemps.

Sara pouvait sentir que Michael se retenait alors qu’il ralentissait la cadence. Il s’était rendu compte qu’il ne durerait pas bien longtemps à ce rythme et ne voulait surtout pas que Sara pense qu’il était comme ces types d’à peines deux minutes.

_ C’est ok, Michael, j’y suis presque aussi, lisant parfaitement ce qui se trouvait dans son esprit troublé. Jouit avec moi, je veux que tu jouisse avec moi, lui demanda-t-elle.

Michael rit de soulagement avant de donner un puissant coup de rein, puis deux, puis trois avant que Sara ne commence à crier de pure extase et Michael l’accompagna alors que leurs orgasmes les frappaient violemment en même temps. Redescendant de leur euphorie ensemble, tous deux émirent des respirations rauques, essayant de récupérer une certaine posture.

_ Je t’aime tellement Sara, soupira Michael, en l’embrassant passionnément avec toute l’énergie qu’il lui restait.

Sara lui caressa le visage avec ses mains et scruta amoureusement ses yeux.

_ Je t’aime aussi Michael, plus que tout.

Provenant de nulle part, quelqu’un frappa à la porte.

_ Est-ce que tout va bien ? J’ai cru entendre Sara crier.

C’était Kellerman.
Toujours en Sara, Michael roula des yeux.

_ Tout va bien, répond Michael, agacé du timing de Kellerman.
_ Bien car je dois utiliser les toilettes.
_ Va pisser autre part, cria Sara pleine de rage. On est occupé ici.

Ils entendirent les pas de Kellerman alors qu’il descendait les escaliers et Sara laissa échapper un petit rire.

_ Tu crois qu’il sait ce qu’on était en train de faire ?

Michael rit en retour alors qu’à regret il quittait corps de Sara, et l’aida à se remettre sur ses pieds.

_ Je crois qu’il en a une vague idée maintenant, répondit-il lui souriant.
_ Tant mieux, rajouta Sara alors qu’elle enfilait ses sous-vêtements et son jean, et que Michael lui aussi commençait à se rhabiller.

Lorsqu’ils étaient enfin présentables, Michael prit Sara par la main et ils quittèrent ces toilettes, mais pas sans regarder une dernière fois l’endroit où ils avaient fait l’amour pour la première fois, ce magnifique souvenir gravé dans leur mémoire pour toujours.

Alors???
Vous aimez?????
J'espère!!!!!!!

[Sara_Bagwell_Neto]

Mais evidemment on aime!!!

La scene du train a laquelle on a pas eu droit!!!!

weeeee!!

Merci

[portugalita]

Leaving for Work par Saracrane

_ Mon Dieu, tes pieds sont gelés.

Sara bougea sa tête de derrière son journal et lui sourit.

_ C’est pourquoi ils sont sous toi.

Michael secoua la tête, amusé par les paroles de sa femme.
Il reposa ses yeux sur le journal posé devant son assiette.

Ce matin, Sara l’avait surpris en lui préparant le petit déjeuner avant qu’ils doivent partir pour aller travaille, mais au moment où elle c’était assise en face de lui à table, elle enfouit ses pieds sous ses chaudes cuisses.

_ Tu sais, ils ne seraient pas aussi froid si tu enfilais des chaussettes temps en temps, dit Michael gaiement, en lisant la section des affaires.
_ Ce n’est pas de ma faute, si je arrives pas à mettre la main sur aucunes de mes paires de chaussettes.
_ Et c’est de la mienne ?
_ T’es celui qui m’enlève toujours mes chaussettes, le soir, à ce que je saches !

Michael la regarda en levant légèrement le sourcil, que veux-tu que je te dise, tu as des pieds incroyables.
_ Donc où est le problème ?
Il s’apprêtait à répondre lorsque son portable se mit à sonner, brisant ainsi l’ambiance.
_ Il faut que j’y ailles, il sortit son portable de sa poche et regarda qu l’appelait.
_ Je sais, manquant déjà sa présence à ses côtés.

Michael se leva, prit son journal d’une main et de l’autre finit de boire sa tasse de café. Sara l’observa essayant de chasser la soudaine anxiété qui la consumait.
Elle écarta sa chaise de la table afin de se redresser. Elle prit les assiettes et se tourna vers l’évier.
Michael l’étudiait de derrière sa tasse pendant qu’elle marchait.
Elle avait été sur les nerfs toute la journée, et il savait exactement pourquoi. Il ressentait même chose qu’elle, mais savait que le moment était arrivé. Il le dernière gorgée de son café alors que Sara plaçait toute la vaisselle dans l’évier. Et la regarda commencer à remplir le remplir d’eau.

_ Sara, tu n’as pas besoin de faire ça, on s’en occupera ce soir, en s’approchant doucement d’elle par derrière.
Au lieu de répondre, elle jeta du savon sur les assiettes.
_ Sara, murmura-t-il.
Ses yeux rentrèrent en contact avec ses bras, se rendant compte que ses mains étaient toutes tremblantes.
_ Sara, dit-il gentiment. En donnant les quelques pas qui le séparaient d’elle. Elle sentit son torse contre son dos, elle stoppa tous mouvements jusqu’à ce qu’elle sente deux bras autour de sa taille, la serrant tout contre lui.
_ Michael.
_ Regardes-moi Sara, murmura-t-elle, son souffle chaud frappant son cou, lui provoquant des frissons. Il ne pu s’empêcher de sourire car même si elle essayait de résister, son corps lui ne pouvait pas mentir.
_ Il faut que tu ailles travailler, admit-elle désespérément, frottant énergiquement un plat.
_ Je sais, c’est pourquoi je veux que tu te retournes. Je ne vais pas te laisser comme ça.
_ Michael, elle laissa l’assiette tombé dans l’eau savonnée et dit, c’est stupide…c’est juste moi ayant des doutes…va travailler.
_ Non, il alterna ses mains de sa taille et la retourna gentiment.

Il soupira lourdement lorsqu’il vit des larmes coulant le long de son visage.

_ Sara, Sara, il leva ses mains de ses hanches jusqu’à chacune de ses joues. Chassa les larmes et posa ensuite son front contre le sien. Je serais de retour dans moins de neuf heures.
_ Je sais, elle dériva sa tête sur son torse et la remua. C’est pourquoi tout ceci est complément ridicule…
Michael plaça un lourd baiser r son front. Ce n’est pas ridicule si c’est ce que tu ressens.
_ Mais ça l’est ! On a déjà été séparé avant…durant des jours entiers lorsque nous étions en cavale. J’ai passé 29 ans sans toi…et maintenant je n’arrive pas à supporter l’idée de te quitter pour les huit heures de travail quotidien.
_ C’est normal de ressentir ça Sara. Nous n’avons plus été séparé depuis que toute cette histoire est terminé…c’est normal, lui caressant le dos avec une de ses main.
_ Non, ça ne l’est pas. Je me comporte comme une…
_ Mais non Sara, la coupa-t-il. Sara, en me réveillant ce matin j’ai faillit appeler pour annoncer un congés maladie pour chacun d’entre nous.
Sara essayait tant bien que mal de contrôler ses sanglots.
_ Sara, mon cœur regarde-moi, lui prenant le visage à l’aide de ses deux mains. S’il te plait Sara.
_ Je vais bien.
_ Je sais, en lui souriant gentiment. Je sais que oui. Sara, les choses deviendront facile, de moins en moins dures avec le temps. Je te le promets.

Sara se força à lui sourire, elle leva les bras r les placer autour du cou de son mari. Ahh… Là je sais que tu es en train de mentir, car tu me manques toujours, et je suis sûre que ça sera toujours le cas.
Le visage de Michael s’illumina au changement d’humeur de Sara, je déteste le fait que tu es toujours raison.
_ Et j’ai raison à propos d’autre chose, en emmenant ses lèvres à la rencontre de Michael.
Les bras de Michael se serrèrent instantanément autour d’elle, la rapprochant davantage. Ah ouais ? Et c’est quoi ?
_ Si tu ne part pas dans les dix secondes qui suivent, tu vas avoir au moins une demi-heure de retard au boulot.
Michael effleura ses lèvres, la provoquant avant de capturer sa lèvre supérieure entre ses dents.
_ Oh mon cœur…essaye plutôt cinq secondes...

Alors?!?!?

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